Rhétorique

Tout ce qu'il te faut pour ne plus JAMAIS stresser quand tu prends la parole.

Modifié le
18
February 2025
par
Julien de Sousa
Image de couverture pour l'article sur la peur de parler en public - Formation en prise de parole Panache

Introduction

Tu es face à un auditoire, tous les regards sont braqués sur toi.

Ton cœur s’emballe, tes mains deviennent moites, tu es sur le point de commencer et…

Impossible de sortir le moindre son de ta bouche.

Rien. Nada. Zero. Ciao Pantin.

C'est ce qu'on appelle la glossophobie, la peur de parler en public.

Cette peur, tu l’as peut-être déjà ressentie mille fois et c’est pour cette raison plus que légitime qu’elle peut te sembler difficile à surmonter.

Voir carrément impossible.

Le pire c’est quand tu as tout essayé pour régler ce problème :

  • Apprendre ton texte par coeur pour ne pas devoir improviser
  • Des exercices de respiration avant de parler pour être plus zen
  • Tirer des taffes de CBD et imaginer le public tout nu pour te détendre (un peu bizarre non ?)

Et malgré tout ça, tu freezes toujours comme un lapin devant les phares d’une Clio dès que tu entends le groupe de mots “Prise de parole en public”.

Eh bien, c’est normal. Moi c’est pareil avec “Céleri rémoulade”.

C’est normal mais voici la vérité : cette peur n’est ni une fatalité ni une malédiction.

La prise de parole est une compétence qui s’apprend et se maîtrise, comme toute autre.

Mais il te faut une bonne méthodologie.

On va donc décrypter ensemble pourquoi parler en public te génère autant d’angoisse, identifier les blocages qui te freinent et surtout te donner des stratégies concrètes pour transformer cette crainte en véritable atout.

Parce que, 2025 c’est l’année où tu déploies enfin ton charisme à l’oral.

Et tu arrêtes de louper masse d'opportunités, car tu perds tes moyens.

Image Forrest Gump pour l'article sur la peur de parler en public - Article proposé par Panache Organisme de formation en prise de parole
Tu seras le Forrest Gump de la prise de parole, plus aucune peur !

Pourquoi parler en public fait-il si peur ?

Quand le corps s’emballe : les symptômes du trac

Notre cerveau est programmé pour nous protéger.

Dès que le stress monte, notre corps a 3 réactions : on fuit, on se fige ou on fight :

  • Coeur qui s’accèlere
  • Respiration saccadée
  • Sueur excessive.
  • Trou de mémoire soudain.
  • Tremblements, voix qui flanche.

Oui mais pourquoi ?

Tout simplement parce que nous avons peur de ce que nous ne connaissons pas.

Nous avons peur de l’inconnu. Des inconnus. Des réactions inconnues.

La faute aux australopithèques : c’est un réflexe issu de notre passé.

Parce qu’il y a des milliers d’années, se balader dans la forêt et chercher 3 baies de goji pour l’apéro, c'était potentiellement encourir le risque de servir nous-mêmes d’apéro aux Sarcosuchus (Google that).

De fait, chaque bruit, chaque mouvement inconnu mettait notre cerveau en alerte.

Exactement de la même façon que durant une présentation orale par exemple.

Mais comme nous l’avons dit, la glossophobie (peur de parler en public) n’est pas une fatalité.

Je vais te prendre un autre exemple :

Quand j’étais petit, j’avais peur du noir.

Dès que les lumières de ma chambre s’éteignaient je ne savais pas ce qu’il pouvait se passer.

Je ne voyais rien, tout était silencieux, mon imagination prenait le dessus et je commençais à stresser.

J’avais peur de l’inconnu. Tout comme mes ancêtres avaient peur des bruits inconnus.

Mais à force de me confronter à l’obscurité, en grandissant, cette peur a disparu.

Parce que j’ai compris qu’il ne m’arriverait rien.

Eh bien, c’est aussi la même chose avec la prise de parole en public.


Comment atténuer les symptômes du stress ?

Il existe des techniques de respiration qui peuvent t’aider.

Des techniques comme la cohérence cardiaque ont fait leur preuve :

  • Inspirer pendant 5s, bloquer 5s, expirer 5s, bloquer 5s, et ainsi de suite durant 5 minutes.

Cela permet de réguler le système nerveux et de mieux gérer le stress. C’est hyper efficace sur le moment.

Sauf que... ça ne suffit pas

Je te donne un autre exemple :

Quand tu as appris à conduire, tu étais stressé-e au début.

Normal, tu ne savais pas comment passer les vitesses, gérer l’embrayage, faire un créneau par la gauche en pente 8%.

Le stress que tu avais, c’était d’avoir un accident.

Maintenant, Hervé de l’auto-école, il t’a appris des techniques de respiration pour arrêter de stresser ? Ou il t’a appris à conduire une Clio pour arrêter de stresser... quand tu conduis ?

La question n’est donc pas comment arrêter de stresser quand tu prends la parole en public, la question c’est quoi faire et quoi dire quand tu parles pour te sentir assez en sécurité et donc arrêter de stresser ?

Tu vois la nuance ?

Si tu sais quoi dire et quoi faire, tu règles le problème de la honte, du ridicule ou du jugement, parce que tu seras en maîtrise de ta prise de parole.

Je ne dis pas que les techniques de respiration pour réduire le stress ça ne sert à rien, je dis juste que ça doit rester la cerise sur le gâteau-yaourt pour te permettre d’être plus à l’aise encore.

Mais le gâteau, il faut savoir le faire.

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Identifier et surmonter ses blocages

Ces croyances qui t’empêchent d’avancer

Est-ce que tu t’es déjà dit :

  • “Nan moi parler en public c’est pas mon truc, je suis nul.le”
  • “Je vais perdre mes moyens et oublier tout mon texte.”
  • “Tout le monde va capter que je suis pas à l’aise.”

Alors ? Oui ? Non ?

La vérité ? Elles ne définissent pas tes capacités réelles.

Ce sont des choses que tu t’es répétées ou que d’autres ont décidées pour toi.

Mais est-ce la réalité ?

Pas si sûr.

Je t’invite à (re)lire notre article sur l’effet Pygmalion pour prendre confiance en toi et pour te prouver ce que j’avance ici.

Il va, en deux temps de cuillère à pot, remettre de la confiance dans ton cœur et de l’amour dans ton esprit.

Et en prise de parole, la confiance c’est l’essence, l’amour le moteur ! (quand je pense que je me déplace qu'à vélo en vrai...).

Une technique simple pour désamorcer la peur

Si tu commences déjà à t’initier à la prise de parole via la pratique progressive, tu vas déjà monter d’un cran par rapport aux autres.

La pratique progressive c’est le fait de commencer par parler devant un petit groupe, puis d’élargir progressivement ton audience.

Tu peux commencer devant ton copain ou ta copine.

Puis inviter quelques ami.e.s. et ainsi de suite.

Ton cerveau va s’habituer à l’exposition progressive et diminuer son niveau d’alerte.

C’est bien pour commencer mais ça reste à terme, insuffisant.

Pourquoi ?

Parce qu’il manquera toujours cette bonne vieille méthodologie dont on parle depuis le début.

Je te fais une comparaison, tu vas immédiatement comprendre l’enjeu :

Ma mère m’a appris à nager. Bon, du coup je sais nager.

Mais ma mère n’étant pas Manaudou, elle ne m’a pas appris la meilleure manière de nager.

Donc, je sais surtout avancer en flottant. Ça fait le taf dans les calanques.

Eh bien c’est pareil avec la prise de parole en public.

Vous savez parler mais peut-être que vous n’avez pas la manière la plus efficace de communiquer.

Et reste donc toujours ce problème fondamental :

  • Qu’est ce que je dis ?
  • Comment je dois le dire ?

Et là c'est la cata.

denis brogniart meme "ah"  - Image pour l'article sur la peur de parler en public formation en rhétorique Panache

Là on commence à rentrer en profondeur dans le problème.

Parce que tu l’auras compris : La prise de parole en public, c’est aussi de la préparation.

Prendre la parole avec confiance et impact

Pour préparer toutes tes prises de parole, qu’elles durent 1 minute ou 1 heure, que ce soit devant 10 ou 1000 personnes, il faut que tu passes par 6 étapes essentielles.

Je vais t’en résumer 3 ici mais j’ai compilé ces 6 étapes dans un article plus détaillé que tu pourras trouver dans cet article : Les 6 étapes pour délivrer une prise de parole réussie.

Clarifie ton message clé

La première chose à faire, c’est de te mettre à la place de ton public pour l’embarquer plus facilement avec toi :

  • Qui est-il ?
  • Qu’est-ce qu’il croit ?
  • Qu’est-ce qu’il devrait croire ?

Puis, tu peux construire le message clé de ta prise de parole :

  • Impactant
  • Structuré
  • Facile à retenir

Ce sera le véritable socle qui structurera tout ton propos.

Pense-le comme un slogan.

Pour t’aider à le trouver tu peux te poser la question suivante :

Qu’est ce que je veux que mon audience retienne après mon intervention orale ?

Et si ce message faisait la Une d'un journal, quel titre ?

P‍ar exemple :

"La rhétorique devrait être enseignée dès le collège pour éduquer de futurs citoyens éclairés".


Donc veille à ce que ton message clef respecte 3 éléments :

1- Il doit exprimer ton point de vue.

2- Il faut qu’il exprime un bénéfice ou qu’il évoque une peur.

3- Ton message clé doit être court.

Si tu ne le connais pas, alors tu peux être sûr que ta prise de parole partira dans tous les sens.

Donc si tu veux juste nous donner une liste d'informations, envoie-nous un joli PDF, tu gagneras du temps et ton public aussi.

Structure ton discours intelligemment

Une fois que t’as un peu ta trame et ce que tu veux dire, il faut que tu mettes tout ça dans un plan qui tient la route.

Un plan ça va te servir à 2 choses :

  1. T’empêcher de te perdre dans tes explications
  2. Permettre à ton public de suivre facilement ce que tu dis.

Selon ton besoin tu peux utiliser :

  • Un plan analytique : Tu pars d’un problème, tu expliques ses causes et tu analyses ses conséquences.
  • Un plan logique : avant, maintenant, demain.
  • Un plan chronologique : La base du storytelling et de tous les Disney que tu as regardé 152 fois quand tu étais enfant (si tu les regardes encore aujourd’hui on est dans la même team).

Il existe plein de types de plans différents dont tu peux te servir pour étayer tes idées.

Sur ça, la rhétorique a toujours été en avance par rapport à Apple : Il y a autant de plans que d’app’ sur le store.

Tu peux découvrir cet article sur Comment créer un Pitch gagnant à (quasi) tous les coups ? pour te donner une structure détaillée parfaite pour cet exercice.

Répète encore et encore.

La répétition, c’est la clé de la fluidité et de la confiance.

On ne répète pas pour être bon, on répète pour être prêt.

Et c’est durant ces répétitions que tu vas mémoriser ton plan, tes messages importants, tes punchlines et faire rentrer un peu l’éloquence dans l’équation.

L’éloquence c’est la couverture du livre, c’est la présentation de ton plat, c’est ton feed insta bien rangé.

En clair, c’est la forme que tu veux donner à tes propos quand tu parles.

Donc tout ce qui touche :  

  • Au regard : Établis un contact visuel naturel avec ton auditoire. Regarde les gens dans les yeux, travaille tes expressions faciales.
  • Aux gestes : Utilise tes mains pour illustrer tes propos. Pense-les comme des écrans qui illustrent ce que tu dis ou comme le prolongement de tes mots.
  • À la voix : Joue avec le rythme, l’intonation et les silences pour capter l’attention. Pense aux pauses stratégiques pour laisser l’audience assimiler tes propos.

Si tu appliques tout ce qu’on vient de voir ensemble depuis le début, tu as de bons éléments à mettre en place pour passer encore à l’étape supérieur et faire reculer un peu plus cette peur de prendre la parole en public.

Parce que, la seule véritable solution pour dépasser cette peur, c’est de mettre en action les outils rhétorique que tu viens de découvrir.

Et là, tu vas me dire : "mais oui, je sais tout ça, c'est juste que je ne prends jamais le temps de préparer mes interventions".

Alors :

1- prends le temps de les préparer, y'a pas de secret. Beyoncé répète tous ses concerts alors que c'est la Queen. Et t'es pas encore Beyoncé.

2- prépare-les avec les bons outils et la bonne méthode. Les conseils qu'on te donne viennent des kings de la rhétorique (Aristote, Quintilien, et Lucas Haensler, docteur en rhétorique dans l'équipe).

Et ils fonctionnent encore mieux que les conseils de Philippe Lucas pour faire de Laure Manaudou une championne olympique.

Car nous, on est sympa.

Gif de l'équipe de Panache Organisme de formation en prise de parole en public

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Conclusion

En clair ose prendre la parole.

La prise de parole en public est une compétence essentielle qui se développe avec le temps et la pratique.

La glossophobie ne disparaîtra pas du jour au lendemain, mais en appliquant des techniques éprouvées, elle diminuera considérablement.

  • Exerce-toi régulièrement,
  • Structure tes discours intelligemment,
  • Apprends à maîtriser ta respiration et ton stress,
  • Travaille ton éloquence pour captiver ton auditoire.

Le plus important ? Oser.

Chaque prise de parole est une opportunité d’apprentissage. Plus tu te lances, plus tu progresseras.

Tu veux en apprendre plus sur la prise de parole, la gestion de ton stress et la meilleure façon pour créer les opportunités que tu mérites ?

Pourquoi tenter l’aventure avec Panache ?

C’est pour ça qu’avec Lucas Haensler, docteur en rhétorique, on a créé :

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  • Gagner en clarté, en concision et en structuration grâce à une expertise éprouvée : la rhétorique.
  • Gagner en efficacité grâce à un accompagnement personnalisé pour repartir avec des messages et un style retravaillés sur le fond et la forme.
  • Gagner ces nouvelles compétences à vie grâce à de la pratique intensive.
  • Gagner en motivation pour se tester à chaque occasion grâce à une communauté apprenante stimulante et des défis.

Et enfin, durant 6 semaines, vous êtes encadrés par 2 formateurs en prise de parole qui vous aideront via des mises en pratiques et des coachings perso à développer votre aisance oratoire comme jamais auparavant.

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Julien de Sousa, fondateur de Panache.

Aller plus loin

Voici les réponses aux questions qui nous reviennent le plus. Si tu en as d'autres, entre en contact avec nous pour en savoir encore plus.

Quels sont les impacts de la glossophobie sur la confiance en soi et la prise de parole ?

La glossophobie, c'est un peu comme ce rêve où tu te retrouves en pyjama devant toute la classe. Sauf que là, c'est réel, et tu es bien habillé (enfin, on l'espère).

En d’autres termes, c’est le fait d’avoir peur de parler en public.

Cette peur peut sérieusement enlever ta confiance en toi et transformer tes interventions en véritables épreuves.

Impact sur la confiance en soi :

  • Auto-sabotage : Plus tu évites de parler en public, plus tu renforces l'idée que tu n'en es pas capable. C'est un cercle vicieux digne d'un hamster sur sa roue.
  • Syndrome de l'imposteur : Tu te dis que si tu ouvres la bouche, tout le monde va découvrir que tu n'es pas légitime. Spoiler : c'est faux, mais ton cerveau adore te jouer des tours.
  • Démotivation : À force de fuir les prises de parole, tu passes à côté d'opportunités en or. Et tout ça parce que ton cerveau a décidé de jouer les trouble-fête.

Impact sur la prise de parole :

  • Symptômes physiques : Mains moites, voix tremblante, cœur qui bat la chamade... On dirait une scène de film dramatique, sauf que c'est ta réalité.
  • Discours désorganisé : Le stress te fait perdre le fil, et tu te retrouves à raconter l'histoire de ta tante Monique au lieu de présenter ton projet.
  • Manque de charisme : Ton stress prend le dessus, et au lieu d'être le prochain Barack Obama, tu te sens plutôt comme un élève de CP lors de sa première récitation.

Rappelle-toi que même les plus grands orateurs ont commencé quelque part. La pratique et la préparation sont tes meilleures alliées pour transformer cette peur en force.

Pourquoi le stress bloque-t-il la voix ?

Ah, le stress et la voix, une histoire d'amour compliquée. Imagine que ton corps est une voiture. Le stress, c'est comme si quelqu'un tirait le frein à main en pleine autoroute. Pas top pour avancer.

Ce qui se passe réellement :

  • Tension musculaire : Le stress contracte tes muscles, y compris ceux de ton larynx. Résultat ? Ta voix ressemble à celle d'un robot mal huilé.
  • Respiration superficielle : En situation de stress, tu respires comme un petit chien après une course. Ton diaphragme fait la grève, et ta voix manque de puissance.
  • Sécheresse buccale : Ton corps pense que tu es en danger et arrête de produire de la salive. Parfait pour imiter le bruit du papier de verre, moins pour articuler clairement.

Avant de prendre la parole, prends quelques respirations profondes, détends tes épaules et garde une bouteille d'eau à portée de main.

Comment gérer le stress lors d’une prise de parole en public ?

1. Préparation, préparation, préparation :

  • Connaître son sujet : Plus tu maîtrises ton contenu, moins le stress aura de prises sur toi. Deviens l'expert que tu es censé être.
  • Répétition : Entraîne-toi devant un miroir, ton chat, ou même ta plante verte. Plus tu répètes, plus tu gagnes en confiance.

2. Techniques de relaxation :

  • Respiration profonde : Inspire par le nez pendant 5 secondes, retiens pendant 5 secondes, expire par la bouche pendant 5 secondes. Répète jusqu'à ce que ton cœur arrête de faire du tambourin.
  • Visualisation positive : Imagine-toi en train de réussir ta présentation avec brio. Oui, comme dans les films.

3. Adopte une posture de super-héros :

  • Le "Power Pose" : Debout, pieds écartés, mains sur les hanches, poitrine en avant. Maintiens cette position pendant 2 minutes avant de parler. Non seulement tu auras l'air cool, mais en plus, ça booste la confiance en soi.

N'oublie pas que le public est là pour t'écouter, pas pour te juger. Et si tu fais une erreur, souris et continue. Après tout, même les super-héros trébuchent parfois sur leur cape.

Comment le stress nous fait-il perdre nos moyens ?

Le stress, c'est comme un saboteur invisible planqué dans ton cerveau, prêt à appuyer sur tous les boutons d'alerte dès que tu ouvres la bouche.

Résultat ?

Tu oublies ton texte, tes mains deviennent moites, et ton charisme prend des vacances sans prévenir.

Mais pourquoi diable le stress nous joue-t-il ces tours ?

Cerveau en mode panique → Il croit que tu affrontes un lion, alors qu’en vrai, c’est juste un PowerPoint.
Mémoire en grève → Sous stress, ton cerveau transforme ton discours en puzzle sans pièces.
Voix et corps en freestyle → Muscles tendus, voix aiguë, tremblements... la totale.

Comment éviter la catastrophe ?

Respiration ninja → Inspire, bloque, expire... et hop, ton cerveau redevient ton ami.
Mot-clé magique → Un seul mot pour chaque idée, histoire de ne pas sombrer dans le néant.
Pause stylée → Silence = charisme. Profite-en pour respirer et reprendre le contrôle.
Humour bien dosé → “Oups, mon cerveau est parti en pause café !” et le tour est joué.

Bref (pas la série) Le stress, ça se dompte ! Plus tu pratiques, plus il devient ton allié.

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